Jeremy Davis partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'jeremy que nous vous proposons est composée de 1 films et/ou séries.

Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels jeremy a joué, josiane, jean-francois, christine, jacques, maurice, catherine, nicolas, victor, sylvie, alexandre. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?

Les réponses dans la filmographie concernant Jeremy Davis

Dans le premier film de notre séléction, Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes, Jeremy Davis a tourné avec Josiane Balasko et Jean-François Derec. Il a aussi partagé l'affiche avec Christine Dejoux et Jacques Herlin. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Maurice Bénichou , Catherine Hiegel , Nicolas Boukhrief , Victor Nieznanov , Sylvie Huguel , Alexandre Piskariov.

Voilà un bref résumé de ce film avec Jeremy Davis:

1958. Irène, une fervente communiste française, se dévoue corps et âme à la bonne cause : militer contre le projet de Constitution de la cinquième République. L'ambiance familiale est souvent électrique, entre son époux, un marchand de chaussures aux idées de droite, et Charlot, le frère parasitaire d'Irène. Tout se complique lorsque les choeurs de l'Armée Rouge viennent donner un récital à Paris... <em>"Du référendum gaulliste au muguet du 1er Mai, en passant par Jean Ferrat et la Fête de L'Huma, ce joli premier film offre au spectateur une série de vignettes chaleureuses et drôles qui évoquent la mythologie du Parti en 1958. C'est aussi une savoureuse leçon d'histoire. Les talents immenses de Josiane Balasko et de Maurice Bénichou donnent à ce film poids et humanité."</em> Le Point, 4 décembre 1993. <em>"On s'amuse franchement au spectacle de cette guéguerre civile en famille. On rit quand Bernard donne la pièce à son fils pour qu'il crie "Vive de Gaulle !" dans la cuisine, où sa mère papote avec une militante. On est tout chose quand Irène, l'irréprochable Irène, se laisse troubler par le charme du beau soliste des Choeurs de l'Armée Rouge, qui l'embrasse "à la Russe". Quelle bonne idée, aussi, d'avoir donné le rôle d'Irène à la Balasko ! C'est en grande partie grâce à elle que ce film est plein de chaleur. Et, forcément... d'humanité."</em> Télérama, 1er décembre 1993. <em>"&#40;...&#41; Ce portrait de couple et dans une atmosphère parfaitement inattendue, parvient à recréer avec peu de moyens, le ton d'un authentique divertissement."</em> Le Quotidien de Paris, 4 et 5 décembre 1993.

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